L'auto sabotage

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Il me faut parler d'un frein à l'action que nous subissons tous... moi en premier lieu. Et je commence avec un exemple. J'ai eu l'occasion de me rendre chez un ami pour faire une relecture de mon livre, celui que vous lisez actuellement. Le but était de profiter de la soirée et de son jour de congé pour réécrire éventuellement quelques passages et ajouter des sujets le cas échéant, pour rendre ce livre le plus complet possible. Donc, la veille je prépare mes affaires ; au matin avant de partir et de faire les trente kilomètres en bus et arriver en début d'après-midi, merci les correspondances et les temps d'attente, je prends toutes mes affaires ... et me mets en route. Le trajet se passe comme tout trajet en bus, direction l'arrêt à dix minutes de chez moi, attente du bus qui est en retard, attente à l'arrêt pour la correspondance et trajet jusque chez mon ami. J'arrive avant lui, je m'installe... j'avais TOUT, mes clefs usb avec mes sources, la copie de mon livre en version papier et sur mon traitement de texte, ma souris et mon clavier... et devinez ce que j'ai oublié... le hub usb pour pallier à mon seul port usb qui fonctionne encore sur mon pc portable et la fiche usb du clavier sans fil. Résultat des courses, je me retrouve avec des notes sur les feuilles et tout le travail à faire à la maison....

Qu’est-ce donc que ce que je viens de vous expliquer... un oubli inconscient ? Oui, probablement, pourtant je suis parti à mon aise, en essayant de m'assurer n'avoir rien oublié.. et ce n'est qu'une fois arrivé et que j'ai tout sorti de mon sac que j'ai réalisé l'oubli. C'est de l'auto sabotage... et c'est ce dont j'aimerais vous parler ici, pour vous éviter que cela vous arrive.

Tout d'abord, c'est quoi l'auto sabotage ?

C'est le mécanisme inconscient qui, des fois, prend le contrôle du cerveau lorsque vous voulez faire quelque chose de neuf ou que vous préparez un projet important à vos yeux.... et qui vous fait faire n'importe quoi histoire de bien rater votre entreprise en cours. C'est l'art de se mettre en échec par des comportements inconscients.

En réalité, l'auto sabotage est la concrétisation de la peur du changement. La peur d'être aimé, ou de ne plus être aimé ; du succès ou de l'absence de succès ; de la reconnaissance du travail fourni ou de l'absence de reconnaissance.

L'auto sabotage est donc bel et bien une création de notre égo qui a peur de souffrir d'une manière ou d'une autre en assumant le changement lié à l'action que nous aimerions entreprendre.

L'auto sabotage nourrit donc les sentiments tels que la culpabilité, le doute, l'inaction. Mais également la sur activité non productive, le jugement négatif autant de soi que des autres, la colère envers soi et les autres, la violence, la honte, la dépendance à tout ce qui peut nous soustraire au quotidien toxique qui nous entoure... allant jusqu'à l'enfermement et le repli sur soi-même.

Les origines de l'auto sabotage

l'auto sabotage tire ses sources de notre passé et de tous les messages négatifs ou dévalorisant que nous pouvons recevoir au gré de notre vie. Ainsi des phrases telles que « tu en est incapable », « tu vas mal finir », « tu ne sers à rien », « tu es méchant », « tu n'arriveras à rien », « tu es un idiot » ... qu'on répète aux enfants construisent l'état d'auto sabotage une fois adulte. Mais ces phrases ne sont pas pour autant la seule source de l'auto sabotage. Le chantage fait aux enfants y est pour beaucoup. Le fameux « si tu ne manges pas tout » ou « si tu pleures on s'en va » tout comme les étiquettes, surnoms, injonctions, critiques acerbes, humiliations, punitions venant de personnes de confiances en sont également la source.

Le fonctionnement de l'auto sabotage

L'auto sabotage devient chez l'enfant puis chez l'adulte un moyen de défense autant que d'attaque à chacun des moments de crise traversé. Et comme notre cerveau agit pour être en corrélation avec nos croyances, il se met en condition d'échec pour valider chacun de ces mots, chaque unes de ces phrases.

Les pire auto-sabotages

La procrastination : c'est se trouver pleins de bonnes raisons pour ne rien faire... dans le but de ne pas prendre le risque d'échouer dans ce que vous souhaiteriez faire ; ou lorsque vous vous concentrez sur autre chose que l'objectif que vous vous êtes fixés.

Le perfectionnisme : nous en avons déjà parlé mais il me semble utile de le rappeler et y revenir dans ce contexte, c'est lorsque vous commencez quelque chose et que vous réalisez que ce n'est pas assez bien.... alors que vous n'avez pas terminé. Et que vous recommencez tout depuis la page blanche en espérant un résultat meilleur... et d'essais en essais, vous vous retrouvez avec de multiples version d'un projet débuté mais jamais aboutis.

Être trop sûr de soi : ca c'est lorsque vous vous persuadez d'avoir tout ce qu'il vous faut pour commencer un projet, que vous vous lancez dans l'aventure et réalisez qu'il vous manque des informations... alors vous laissez tout en plan pour combler vos manques, vous réalisez qu'il vous faut encore plus d'informations et qu'il va falloir tout recommencer puisque les nouvelles informations changent votre vision du projet en cours. Vous avez commencé trop vite et sans vous être assuré d'avoir tous les éléments nécessaires, probablement par manque de rigueur.

Le découragement instinctif : il apparaît lorsque vous avez trop bien préparé un sujet à traiter et que face à la masse d'information vous ne savez plus par quel bout commencer.

Le syndrome de l'imposteur : qui se présente lorsque vous avez envie de traiter un sujet et que subitement vous vous dite que ... ce n'est pas la peine, personne ne vas vous écouter ou vous lire ; que d'autres ont déjà traité ce sujet, que vous n'êtes pas une notoriété suffisante que pour en parler et que, dès lors, quoi que vous fassiez cela ne sera pas crédible... et que vous ne méritez pas le succès dans ce que vous réalisez.

Essayer à tout prix d'atteindre des objectifs fixés par des tiers : lorsque d'autres personnes vous fixent des objectifs en pensant que vous êtes à la hauteur... et que pour une raison ou une autre vous n'avez pas su leur dire « non ».

La peur de l'échec : très proche d'être trop sur de soi, c'est la peur de se lancer, d'agir et de sortir de sa zone de confort... et vous vous persuadez qu'il vaut mieux ne rien faire maintenant, que demain ce sera différent...

Et qui sont nos « saboteurs » ?

Le saboteur principal, c'est nous-même ; à travers notre égo… mais c'est aussi les personnes qui nous entourent, puisque notre égo se nourrit autant de nos pensées que de la vision que les autres ont de nous. Enfin, comme expliqué, notre cerveau agit pour être en accord avec notre vision de nous-même, qui est nourrie par le monde qui nous entoure. Dès lors, si nous ne recevions plus de mots négatifs, nous n'aurions aucunes raisons de nous saboter pour valider chacun de ces mots. Dès lors, parmi les personnes « toxiques » qui nous entourent, il en est qui agissent sur nous et d'autres que nous copions... et qui génèrent notre propre saboteur interne. Parmi ces personnes se trouvent :

Les victimes, qui ont peur de tout, qui pleure facilement et cherchent l'attention des autres. Elles se sentent petite et fragile. En côtoyant ce genre de personnes, nous devenons nous même notre propre victime et commençons à avoir leurs peur qui s'incrustent en nous.

Les rejetés, qui ont peur des gens et défendent leur espace vital par peur d'être envahi et dès lors ne s'engagent pas. En restant proche de ce genre de personne, nous générons le sentiment non pas d'accepter les autres mais de faire partie des personnes rejetée à notre tour.

Les abandonnés, qui sont craintifs et vivent dans la peur de ne plus jamais être aimé. Côtoyer des personnes vivant la peur de l'abandon crée un lien malsain qui nous lie à eux et nous font petit à petit avoir cette peur d'abord du rejet puis de l'abandon des autres.

Les experts (ou les soi-disant experts) qui ont réponse à tout et des tonnes d'arguments... les côtoyer peut être bénéfique, si c'est vous qui leur demandez un avis ; si au contraire c'est eux qui s'insinuent dans vos entreprises, il vont à terme ruiner vos efforts... la conséquence est de devenir votre propre expert négatif qui va ressortir à outrance les avis infondés reçu.

Les personnes promptes à juger, qui vous font culpabiliser. La conséquence liée côtoyer ce genre de personne est de développer un jugement négatif sur vous-même et ce que vous entreprenez.

Les personnes radines, qui sont avare et n'aiment pas dépenser... vont vous rendre radine en effort requis pour atteindre vos propres objectifs.

Et comment se débarrasser des saboteurs

comme dit, il y a votre entourage, les personnes que vous avez choisi de côtoyer ou qui vous sont à peu près imposées. Là, c'est à vous de changer votre cercle de relation pour des personnes plus valorisante.

Et il y a votre saboteur caché en vous... en changeant votre cadre de vie, vous vous débarrasserez d'une bonne partie d'entre eux, puisque les personnes physiques qui les entretiennent ne sont plus présente. 

Puis il y a le(s) saboteur(s) crée avec le temps. Pour s'en débarrasser, il faut les identifier, déterminer leur fonction, les comprendre et les satisfaire avec une solution acceptable.

Prenons l'abandonné par exemple... sa fonction n'est pas de vous dire « tu es seul », « personne ne veut de toi »... ce qui aura comme conséquence de vous faire rater un rendez-vous amoureux ou vous empêchera de draguer quelqu’un, par exemple. Ça c'est le message que vous en percevez. Ce qu'il vous dit, en réalité, c'est « trouve quelqu'un qui t'aime »... à vous d'oser vous ouvrir aux autres et de faire valoir la personne que vous êtes avec vos qualités et défaut... mais pour cela il faut affronter ses peurs et oser.

Ne rien faire est le meilleur moyen d'entretenir l'auto sabotage ; agir, même à petite dose, par étape, permet de changer ce jugement négatif sur vous-même et faire de votre saboteur un allié puissant, à savoir la confiance en soi et la reconnaissance de soi.

Combattre l'auto sabotage

pour combattre l'auto sabotage il vous faut prendre du temps pour vous et réfléchir à qui vous êtes vraiment, identifier vos qualités et défauts, vous fixer des objectifs.

Mais ce n'est pas tout, il vous faut également identifier la personne que vous pensez être, à savoir à quel point vous vous considérez comme « négatif ». Cela va permettre d'identifier la personne que vous voulez être et vous donner les pistes pour agir. C'est ce que l'on appelle le travail de l'estime de soi.

Comment agir sur l'auto sabotage

Pour les éviter, il vous faut de la rigueur dans la préparation de vos entreprise autant qu'une rigueur de travail... et avant tout, travailler votre estime personnelle et votre confiance en vous. Mieux, ne pas avoir peur de vous tromper, d'échouer et de recommencer après avoir tiré de réelles leçons de vos erreurs. Mais pas que ; et c'est bien pour cela que je prends la peine d'en parler.

Quand est-ce que l'auto sabotage se présente ?

L'auto sabotage apparaît lorsque vous avez vécu dans un environnement tellement toxique que pour le supporter vous vous créez des raccourcis tels que le mensonge, l'alcool, la drogue, l'abus ou l'absence de nourriture, le manque ou l'abus de sommeil... pour vous couper de la sensation d'insécurité dans laquelle vous évoluez. Et pourtant, au lieu de vous couper de cet environnement toxique, tout cela vous crée un stress supplémentaire, qui devient le terreau fertile de l'auto sabotage.

Des fois c'est même votre corps qui s'y met en générant des effets psychosomatiques pour vous empêcher d'agir.

Il faut également comprendre qu'au plus un projet est important pour vous, au plus vous risquez de vous auto saboter... par peur de vous décevoir vous-même, par peur de l'échec, de ne pas être à la hauteur ou d'être un imposteur... ou que vous avez fixé vos objectifs tellement haut qu'ils en deviennent inaccessibles.

Ce qui nous pousse à l'auto sabotage

il est deux types de personnes, ceux qui cèdent à l'auto sabotage et les autres. Lorsque l'on cède à l'auto sabotage c'est lorsque l'on se laisse envahir par nos croyances limitantes, ces pensées négatives précitées.

Ces pensées négatives sont issues du doute compulsif, qui nous pousse à nous interroger sur le bienfondé de ce que nous faisons. Se débarrasser du doute permet de passer à l'action et pour cela il faut se convaincre que nous avons les capacités et tout ce qu'il faut pour concrétiser notre objectif. Cela passe par l'apprentissage, le test, l'échec et finalement la réussite.

L'anxiété est la seconde source de l'auto sabotage. Comme on est anxieux du résultat, notre esprit réagit en repoussant le passage à l'acte, dans le but de calmer cette anxiété. Pour combattre cela, il faut prendre du temps pour soi, prendre le temps de connaître son sujet, ses envies et clairement définir son objectif

Causes, conséquences et explications

il est quatre types d'auto sabotages qui dépendent de notre comportement individuel.

Ne pas terminer les choses, la personne commence de nombreux projets, se lance de nombreux défis et les laisses en plan à moitié fait avant de définitivement les abandonner. Généralement, chaque projet commencé prend un temps considérable sans parler des efforts fourni... jusqu'à l'abandon. En ne terminant pas les choses, la personne ne fait pas face à l'éventualité de rater ou de ne pas atteindre les objectifs fixés.

La conséquence est que la personne ne sera jamais consciente de ses capacités et de son potentiel, se considérant sans cesse comme médiocre et incompétent... entretenant ainsi l'état négatif dans lequel elle se trouve.

La procrastination chronique est l'habitude que certains ont de repousser ou retarder les activités prévues ; de préférence les plus importantes, au profit d'autres de moindre valeur ou totalement futiles. La raison est de ne pas aimer ce que nous faisons ou que nous avons peur de présenter le résultat final. L'explication est d'avoir une justification du type « je n'ai pas tout ce qu'il me faut pour y parvenir ». la conséquence est de passer réellement pour quelqu'un de médiocre, non plus à nos propres yeux mais bien face aux autres personnes. Et cette excuse « justifie » l'échec, validant ainsi la procrastination à répétition et donc le fait de ne rien faire au final.

Le perfectionnisme est l'excuse ultime pour ne jamais terminer quelque chose. Sous ce bouclier la personne n'est jamais satisfaite du résultat et repousse la fin de son projet sans arrêt. Ce qui motive cette excuse est soit d'être conscient de ne pas pouvoir faire les choses suffisamment bien, et dans ce cas la personne ne fait jamais rien ; soit il y a sans cesses des retouches à apporter...évitant ainsi de devoir présenter son travail à un moment précis.

Enfin, il y a ceux qui utilisent les excuses... le manque de temps, de ressources, l'âge, l'imprévu... tout est bon pour ne pas commencer un projet et donc ne jamais le terminer.

Comment savoir si nous sommes en auto sabotage...

pour savoir si vous êtes dans cette situation, il faut commencer par vous écouter penser. 

Si vous utilisez des mots comme « toujours » ou « jamais » au lieu de « je fais » ou « j'agis » ; « tout le monde » ou

« personne » au lieu de « je ». Ou encore des mots comme « il faut », « je dois » à la place de « je choisis de »

Si vous minimisez ou exagérez ce que vous entreprenez ou encore que vous tirez des conclusions en sautant des étapes (par exemple, ce sujet est trop vaste, pas la peine de commencer, vous tirez une conclusion sans même avoir pris le temps d'ouvrir un livre et commencé à vous intéresser à ce sujet).

Toutes ces pensées sont des signes que vous allez vous saboter ou que vous vous sabotez déjà sans même vous en rendre compte.

La motivation de l'auto sabotage

Notre égo, notre auto saboteur, agit et obéit aux ordres d'une sensation personnelle commune à toutes les personnes, le syndrome de l'imposteur. C'est ce que l'on ressent lorsque nous renonçons, par exemple, à changer de travail pour celui qui nous plairait réellement ; lorsque nous avons peur de nous engager dans une relation amoureuse parce que nous ne nous considérons pas assez bien pour la personne convoitée ou qui nous convoite ; lorsque nous refusons les compliments parce que nous sommes persuadés que les autres sont mieux que nous... et qu'ils sont plus digne des louanges que nous.

Comprenez que plus de 70% des gens ressentent ce genre de sentiments dans leur vie... et certains au quotidien.

Le sentiment d'imposture c'est l'expression de toutes les critiques cumulées depuis la naissance jusqu'à ce jour... et la projection des critiques à venir jusqu'à ce que vous décidiez d'évoluer. Simplement parce que nous continuons à les entretenir inconsciemment puisqu'elles sont notre point de repère. On nous a tellement répété, lorsque nous étions enfant, qu'on était « nul »... qu'on se persuade d'être nul. Comme on en est persuadé, on ne fait rien... puisqu'on est de toute manière nul. Et comme nous ne faisons rien, nous ne pouvons pas nous prouver à nous même une quelconque valeur. C'est un cercle vicieux sur lequel il n'y a que nous qui puissions agir.

Bref, la motivation de l'auto sabotage, c'est de se déclencher pour nous éviter d'avoir à essayer de nous prouver quoi que ce soit

Et donc.... quoi faire ?

Tout d'abord il faut comprendre que personne n'est immunisé contre l'auto sabotage. Celui-ci ne s'évite pas et ne se nie pas. Il se gère ! Et pour ce faire il y a quelques règles à respecter. La première étant de faire taire votre égo pour écouter vos envies et vos besoins. Cela permet de reconnaître être dans l'auto sabotage et d'être à l'écoute de soi, de son corps et de son esprit... car c'est nous même qui nous fixons des envies, des objectifs à atteindre... et c'est notre égo qui génère la peur de ne pas atteindre ces objectifs ou de ne pas être capable de combler nos envies. En réalité, tant que vous prétendrez ne pas vous saboter... vous allez continuer de le faire, tout simplement.

Pour identifier vos auto-sabotages ... faites la liste de tous les reproches que vous avez reçu depuis votre enfance jusqu’à ce jour et la liste de tout ce que vous vous reprochez à vous même.... vous constaterez rapidement que ce que vous n'aimez pas chez vous est le reflet de tout ce que l'on vous a reproché qui s'est amplifié. 

En exemple, si vos parents vous ont reproché d'être « nul », vous pourriez ne pas aimer chez vous le fait de ne pas vous sentir capable, d’abandonner rapidement, de vous décourager aisément. 

Enfin, il vous suffit d'accepter que vos peurs de passer à l'action sont liées à ces croyances que vous entretenez. Pour reprendre notre exemple du « tu es nul », la réponse à donner à votre égo est « je comprends que je n'ai pas été à la hauteur, j'étais en apprentissage imposé et trop jeune pour le comprendre; maintenant je choisis les sujets qui m'intéressent et je vais apprendre dans le but d'utiliser mes nouvelles compétences ». Parce que se sentir « nul » n'est pas « être un incapable », cela veut dire que vous avez des choses à vous prouver et à vous démontrer.


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