Apprendre à faire son deuil

Se remettre d'une rupture - A propos de la douleur - Traiter l'état d'esprit - Apprendre à faire son deuil

Ensuite, il faut apprendre à faire son deuil d’une histoire amoureuse… et ce qu’il faut comprendre, c’est que nous passons par TOUTES ces étapes… et que chaque étape EST importante ; mais pas forcément dans l’ordre et surtout on peut tout à fait revenir sur l’une alors qu’on la croyait dépassée. C’est NORMAL. Il s’agit d’un processus qui prend du temps qu’il nous faut TOUS traverser et ce à CHAQUE rupture. Ne pas prendre le temps de le faire, c’est construire une nouvelle histoire sur une fondation bancale… et donc aggraver notre situation. C’est pourquoi il ne faut JAMAIS se mettre avec quelqu’un pour se réparer ou ne pas rester seul… c’est la pire de toutes les solutions.


Petit rappel, sur le plan des émotions, le temps n’existe pas. C’est-à-dire qu’on peut être persuadé que cette émotion que nous vivons « la maintenant » va durer toute notre vie. Et le plus triste dans l’histoire, c’est qu’au plus l’émotion est « négative » plus nous auront l’impression qu’elle va durer longtemps. Or l’émotion ne vit que jusqu’à ce qu’on s’y intéresse et qu’on agisse dessus. Ne l’oubliez jamais. La tristesse n’est pas plus permanente que la joie. Donc, ne bloquez pas vos émotions, laissez-les s’exprimer aussi longtemps que nécessaire… sans quoi, vous allez rester bloqué dessus jusqu’à les accepter. Et croyez-moi, il vaut mieux les accepter de gré rapidement, que de force avec un ensemble d’autres émotions cumulées à terme. Alors, je sais, on n’a pas envie de ressentir certaines émotions due à une rupture… et pourtant la clef pour se remettre d’une rupture et se soigner… c’est précisément de ressentir ces émotions et de les traverser.

Le choc
La première étape c’est le choc. C’est-à-dire, le moment où l’on apprend que la relation est terminée. C’est le début du deuil. Accepter que la relation est finie permet d’encaisser le choc et de se préparer à traverser les autres étapes qui suivent. Tant que vous refuserez d’accepter la fin de la relation, vous repousserez le choc « à plus tard » et vivrez dans le déni de la fin de relation. Ce qui peut mener à harceler l’autre pour que l’histoire continue….

Le déni
Et malheureusement, la suite c’est le déni, c’est-à-dire refuser d’encaisser le choc. C’est-à-dire qu’on a l’information qui nous dit que l’histoire est finie mais on se refuse à le croire. Ce qu’il faut comprendre c’est que si on ne vit pas le choc, on ne peut pas vivre le déni… et si on vit le déni avant le choc… on repousse tout le reste. Il est important de réaliser, d’entendre, que l’histoire est finie, d’accuser le coup, avant de douter de la véracité de ces paroles. Parce que le déni prépare à la tristesse inéluctable. Et si vous êtes dans le déni sans accepter le choc, la tristesse ne peut apparaître parce que vous refusez d’encaisser le choc. 

Ce que je veux vous dire ici, c’est que si une histoire se termine et que vous n’avez pas accepté le choc, cela créera un frein important à toute autre relation ET dans le meilleur des cas, créera un choc encore plus important quand celle-ci se terminera… et ce sera le cas, parce que vous vivrez cette relation par dépit et non par envie, pour ne pas avoir à vivre, traverser, le deuil de la relation précédente.

Alors le déni c’est quoi exactement ? C’est ce moment où on se dit que l’autre à juste pété un câble et qu’il va revenir. C’est-à-dire qu’on doute de la véracité de la fin de la relation.

Pour traverser le déni, voici ce qu’il ne faut SURTOUT PAS FAIRE :

- faire comme si de rien n’était… et considérer que le couple existe toujours

- essayer à tous prix de se changer les idées… parce que c’est de la fuite face à cette étape du deuil. Repousser ou refuser cette étape c’est retarder l’état de bien être qui suit la rupture et le deuil du couple.

Et donc, voici la bonne attitude à aborder pour traverser le déni :

- respecter le choix de l’autre. C’est-à-dire que s’il a décidé que l’histoire est finie, vous devez l’accepter et cesser de revenir vers lui pour avoir une seconde chance. 

- prendre conscience qu’on est dans le déni… et donc se refuser d’essayer de retourner vers cette personne.

Au plus tôt vous agissez comme décrit, au mieux vous encaisserez le choc… et en réalité, accepter l’état du déni, de couper les ponts avec l’autre et donc que la relation est finie, va permettre d’étaler la douleur à venir pour pouvoir la digérer par petite portion. Et au plus vous retarderez la prise de conscience de l’état de déni, donc au plus vous essayerez de retourner vers l’autre, au plus le choc sera dur et indigeste… parce qu’en plus d’être subit vous l’aurez nourri.

Ce qu’il faut savoir c’est que le déni dépend de votre état émotionnel global. Au plus vous êtes fragile et donc attaché à l’autre… au plus le déni sera important. Et la phase de déni est nourrie de toutes les ruptures que vous avez pu avoir jusqu’à ce jour. Si vous n’avez pas fait le deuil de l’ensemble de vos histoires d’amour… le déni va vous faire souffrir. D’où l’importance d’aimer réellement et non s’attacher à tous prix… et donc d’avoir une bonne estime de soi et une bonne conscience de soi avant de chercher à se mettre en couple.

La colère
La troisième étape c’est la colère… qui est le moment où l’on se sent frustré et impuissant… et donc, lorsque nous agissons pour essayer d’être puissant et fort.

la colère est généralement dirigée vers l’autre… on lui reproche de ne pas avoir cherché le dialogue par exemple… et encore, elle n’est pas adressée à l’autre, on se le dit à soi-même ! ; on peut clamer haut et fort qu’on va lui en faire baver… mais à nouveau, c’est quelque chose qu’on dit à ses proches ou à soi-même…. Et non à la personne concernée.

Mais à travers tout cela, c’est la colère contre soi-même qui s’exprime… je me suis fait avoir, même pas capable de garder quelqu’un ou encore j’aurais dû le voir venir, c’est de ma faute…. Sont autant d’expression de la colère.

Ou encore être en colère contre le reste du monde… la vie est injuste, l’amour c’est nul… sont autant de moyens d’exprimer sa colère.

Et pourtant… pour traverser la colère il ne faut pas chercher à se venger. JAMAIS. C’est totalement stérile et puéril. De même, rabaisser l’autre face à lui est un acte totalement négatif. Egalement, culpabiliser n’arrangera rien. Tout comme le fait de rejeter toutes la faute de la rupture sur l’autre, ce qui nous place en victime ; ou sur soi, ce qui nous place en bourreau de notre propre douleur. Au contraire… tout cela, toutes ces expressions de colères ne font qu’entretenir l’état de colère.

Du coup, toute la question est comment vivre cette colère ? Déjà en restant adulte et maître de ses actions. Il ne vous est pas permis d’envoyer des textos pour insulter votre ex par exemple. Par contre, vous pouvez craquer chez vous, crier, pleurer… mais pas devant lui, ce qui vous placerait soit en victime et vous rabaisserait…. Puisqu’il ne veut plus être avec vous ; ou en bourreau qui le ferait culpabiliser de vous avoir mis dans cet état… ce qui n’arrangerait rien puisque de toute manière il ne veut plus être avec vous.

C’est également le moment de se défouler, à travers le sport par exemple. Mais c’est surtout le bon moment pour clarifier vos désirs et besoins pour préparer la prochaine histoire d’amour. En effet, la colère est la gardienne de votre respect… c’est donc le bon moment pour identifier tout ce qui vous met en colère, les attitudes de votre ex qui font que vous ne vous sentez pas respecté… pour pouvoir les identifier dans vos prochaines histoires et pouvoir vous en retirer avant d’en souffrir. Et décidez que tout cela, c’est ce que vous n’accepterez plus dans votre vie, dans votre histoire.

Mieux, avec la colère c’est aussi le bon moment de faire la réelle part des responsabilités de l’échec du couple… et de profiter de la culpabilité pour identifier ce qui est dépendant de nous dans la rupture… pour pouvoir changer ce type d’attitude et ne plus revivre ces états.

La colère, bien gérée, permet d’identifier ses limites et donc de créer l’espace dans lequel on s’épanouis. La colère est donc sécurisante, parce qu’une fois les limites définies… ben on saura identifier quand l’autre s’en approche à travers son attitude et son comportement. Ce qui permettra le dialogue ou la sortie du couple avant de souffrir.

Toujours dans les bien faits, la colère permet de s’affirmer, de pouvoir identifier qui nous sommes, avec nos besoins, nos forces et nos faiblesses… et donc à pouvoir satisfaire nos besoins affectifs et émotionnels… tout comme à choisir de se faire respecter à partir de maintenant. Mais également à se respecter soi-même… en prenant conscience que ne pas se respecter, c’est se faire abuser par l’autre, en être le jouet… et à subir une nouvelle rupture d’une manière certaine, puisqu’un jouet, quand on s’en lasse, on le jette. Or vous êtes une PERSONNE qui a le droit au respect… de ses limites, si tant est qu’elles soient établies et exprimées.

Enfin, la colère a comme bénéfice d’être la génératrice de la distance entre vous et votre ex. si vous êtes en colère contre lui à cause de la rupture, vous n’aurez plus envie de le voir… et vous allez vous en détacher progressivement. D’où l’importance de vivre la colère, sans quoi vous restez dans le déni et continuez à chercher à recoller les morceaux. Comprenez que la colère permet de créer la distance avec la personne qui s’est déjà détachée de vous… et que cette distance est nécessaire pour passer à la suite du processus de deuil.

Attention cependant… certaines personnes ont un grand besoins de la présence des gens… et du coup, ne se mettent jamais en colère pour ne pas faire fuir les autres… et dans notre cas, l’absence de colère va vous pousser à retourner vers l’autre en sacrifiant votre respect personnel… et comme vous allez vous manger un refus, puisque la relation est terminée… vous ne vous sentirez pas respecté(e) et cela va continuer de détruire votre estime personnelle. D’où, en cas de rupture, exprimez la colère d’une manière ou d’une autre. À défaut de « craquer » de manière expressive, faites du sport, écrivez vos ressentis ou enregistrez-les vocalement… mais exprimez-vous d’une manière ou d’une autre. Je viens de vous expliquer POURQUOI IL FAUT LE FAIRE !!!!! et surtout comprenez qu’être en colère contre votre ex ne signifie pas être en colère vis-à-vis de vos proches ou vos amis. La proximité de ces personnes n’est en rien altérée par votre rupture.

Le marchandage
Plus le deuil se fait… et plus on réalise que l’histoire est finie… que c’est triste… et qu’on n’a pas envie que cette histoire se termine. Et pourtant elle est déjà finie, depuis l’annonce de la rupture pour être précis. Et pourtant, l’étape qui suit la colère est le marchandage. C’est l’étape ou on a réellement peur que ce soit effectivement terminé… et ou on serait prêt à tout ou presque pour que l’autre change d’avis. Et le marchandage nous pousse à faire les mauvaises actions dans le but de récupérer quelqu’un qu’on a déjà perdu ! Comprenez que vouloir récupérer son ex est un automatisme lié à l’une des deux composantes de l’amour, à savoir l’attachement. Comme vous y étiez attaché, voir le considériez comme « à vous » c’est normal d’avoir envie de le garder, de le récupérer. Et pourtant, l’autre est une personne… et ne vous a jamais appartenu. Et cet état de fait est lié à la peur… la peur de perdre l’autre et de se sentir abandonné. Or, je le répète, l’autre est déjà perdu… il vous a déjà abandonné !

Comprenez que « courir derrière quelqu’un » ne le fera pas revenir… par contre, s’éclater dans la vie, s’épanouir, grandir… pourrait le faire revenir. Ceci dit, je ne pense pas qu’une histoire qui se soit terminée vaille la peine d’être réécrite. Il y aura toujours la peur de revivre la rupture ou les situations qui ont mené à la rupture… encore plus si la personne est à nouveau présente. Donc… au lieu de vouloir marchander avec l’autre, marchandez avec la vie. Redevenez insouciant, vivez, reprenez votre vie… et laissez une autre personne venir à vous à défaut d’aller vers une autre personne.

Donc ce qu’il ne faut surtout pas faire durant cette étape, c’est de vouloir reprendre contact avec son ex et encore moins de vouloir recoller les morceaux.

Et ce qu’il convient de faire, c’est son introspection liée à la colère… se poser les bonnes questions sur la personne que je suis, ce que je veux ou pas dans ma vie et ce que je vais faire « de mieux » pour faire vivre ma prochaine relation.

La tristesse
Et malheureusement rien ne s’arrange… on finit par toucher le fond avec la phase suivante qui est la tristesse. Bonne nouvelle, si la tristesse suit le choc, le déni, la colère et le marchandage… elle nous invite à réaliser qu’on est libre de réécrire une nouvelle histoire…. Et qu’on peut choisir d’arrêter d’être triste à partir de maintenant.

Mauvaise nouvelle, la tristesse précédent le déni est de la réelle tristesse… et celle-là il faut qu’elle s’exprime à travers les pleurs… c’est « toucher le fond ». et tant que cela n’est pas fait, vous ne pourrez pas aller mieux. Il faut être triste pour réaliser que le bonheur existe. Si vous ne connaissez pas la tristesse, vous ne connaîtrez jamais la réelle valeur du bonheur et pourquoi il faut tout faire pour l’entretenir… autant avec soi, le bonheur en solitaire, qu’avec l’autre, le bonheur en couple. Mais il faut comprendre qu’on est l’artisan de notre propre bonheur… et que le bonheur a deux, c’est un bonus. Ce n’est qu’une autre facette du  bonheur. Et donc, OUI vous pouvez être heureux seul… et oui, vous pourrez à nouveau être heureux avec une autre personne. Mais seulement après avoir exprimé la tristesse.

Et donc la tristesse s’exprime par une phase de dépression. C’est les moments où vous vous dites que votre vie est foutue, que vous ne rencontrerez plus jamais personne et blablabla…. Comprenez que tout cela n’est qu’illusion… et que ces pensées sont le reflet de l’immaturité affective dont vous faites preuve. Et, petit secret… on passera tous par cette phase. Ce qui nous différentie, c’est le temps qu’on va choisir d’y rester. Et pour en sortir, il faut reprendre confiance en soi, rassembler ses morceaux, se reconstruire et repartir à l’assaut de la vie.

Les erreurs à éviter à ce stade sont de chercher une histoire de remplacement. Comprenez que l’autre, le nouvel amour, n’est pas là pour vous consoler… il est là pour vous montrer la meilleure image de vous, pour partager des choses avec vous… et croyez-moi, partager la tristesse… c’est pas top. Cette nouvelle histoire finira forcément mal, puisqu’elle n’est pas nourrie par l’envie d’aimer mais par le besoin de se consoler. L’autre chose à ne surtout pas faire, c’est de noyer son chagrin, que ce soit dans l’alcool ou les drogues. La fuite n’est pas une réponse.

Et ce qu’il convient de faire pour passer l’étape de tristesse… c’est de laisser la tristesse s’exprimer. Pleurez… et ne résistez pas à vos émotions parce que… vous avez besoins de passer par cette phase. Pleurer fait le vide des émotions néfaste et prépare le terrain pour une nouvelle histoire.

Petite note, des fois je me dit que l’histoire du déluge dans la bible, c’est l’explication extrême au besoin de tristesse… en effet, dieu dit à Noé de construire une arche, d’y placer deux animaux de chaque espèce et fait couler l’eau pour noyer l’humanité… et une fois qu’il a fini de pleuvoir, l’homme peut reprendre sa place sur terre avec l’ensemble des animaux. Dieu, c’est votre conscience ; l’arche, c’est l’espace privé ou vous pourrez pleurer… les deux animaux de chaque espèce, ce sont vos émotions, la positive et la négative qui y est liée… placer tout cela dans l’arche, c’est regrouper ses morceaux… le déluge, la pluie qui tombe, c’est vous qui pleurez… l’action du déluge, c’est de faire le tri entre ce qui doit mourir, disparaître de votre vie… ou pas. Et une fois que vous aurez fini de pleurer… vous pourrez réintégrer le monde avec la meilleure partie de vous.

Bref, ceci étant dit… la tristesse est une émotion… et comme toutes les émotions, tant que vous l’entretenez, elle perdure. Et lorsque vous vous sentez prêt, choisissez de passer à la suite. Mais plus vous vous maintiendrez dans la tristesse, plus cette tristesse perdurera. Et à terme, elle peut apporter des effets négatifs tels que les regrets… qui vont vous rendre encore plus triste.

Et le bénéfice de la tristesse, c’est donc de nettoyer ce qui est terminé pour laisser la place à quelque chose de neuf. Sachez aussi que la tristesse permet de faire le point sur qui nous sommes et ce qui nous a rendu triste, nous rend plus fort et nous prépare à revivre… et à passer à la phase suivante.

L’intégration
Et cette nouvelle phase, c’est la remontée progressive du trou qu’on s’est soi-même creusé. À savoir l’intégration. C’est le moment où on a accepté que l’histoire est bel et bien finie… et ou on réalise qu’autre chose de bien peut nous arriver… peut-être, rapidement ou pas… mais cette phase démarre dès qu’on se dit, ok… c’est terminé et je vais reprendre ma vie là où je l’ai laissée.

L’erreur fatale est, à ce stade, de se dire que c’est bon… on a fait notre deuil. Et en effet, c’est FAUX, parce que vous allez avoir des relance de tristesse, de colère… parce que tout le processus de deuil est cyclique… et revient quelques fois faire « toc toc » à notre porte… un peu pour vous dire « n’oublie pas que tu as souffert », c’est une manière pour notre inconscient de gérer le deuil… et c’est à vous de retraverser ces phases, de les accepter et de constater qu’elles sont d’abord douloureuse puis, de moins en moins présente et intenses. La bonne nouvelle, c’est que c’est le début du renouveau… et que les phases négatives vont s’estomper petit à petit.

Cette phase est nécessaire parce qu’elle sert de test à la gestion de nos émotions. Elle permet de se reprendre en main et s’assurer qu’on a bien fait toutes les étapes du deuil.  Et croyez-moi, si vous n’avez pas agi à chaque étape, c’est à ce moment-là que vous allez le faire, mais façon hardcore ! et si le deuil est déjà quelque chose de difficile et douloureux en se respectant… se mentir à soi-même est encore plus douloureux et néfaste pour son estime personnelle.

Également, cette phase permet de reprendre ses responsabilités vis-à-vis de soi et de la vie… et de s’assurer qu’on s’est posé les bonnes questions autant que d’y avoir trouvé les bonnes réponses. Et dans le tas des bonnes questions se trouve « quels étaient les signes annonciateurs que la relation battait de l’aile et que j’ai préféré ignorer ? » ; « de quoi suis-je vraiment responsable dans notre rupture ? » ; « de quoi l’autre est réellement responsable dans cette rupture ? ».

La reconstruction
Et tout cela permet de réaliser la reconstruction… c’est-à-dire réapprendre à vivre seul, à s’ouvrir aux autres… et recommencer la vie ! C’est-à-dire, se refaire un état d’esprit, une manière de voir le monde et devenir mature… et tout cela est possible grâce aux étapes du deuil. À travers le deuil, vous aurez appris sur vous-même et serez capable de mettre tout cela en pratique à travers une nouvelle page blanche de votre vie.


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